Vérone ma douce amie ton cœur est comme le mien toujours trop grand comme une veste trop ample que l'on jette sur nos épaules pour retenir la chaleur, la vie et que l'on sent le besoin d'enfiler encore et encore... On ne peut porter sur nos épaules le fardeau du monde. Déjà que tu as fait ton gros possible... Rare, très rare sont ceux qui ont réussi cet exploit un oisillon c'est fragile la nature en a décidé ainsi... C'est quand même mieux que ce con de voisin....Exhibant fièrement l'oisillon mort.
désolée... tu n'as peut-être pas fait d'erreur. Il était trop faible ou déjà malade. Pauvre Spider
RépondreSupprimerMerci Babette et Jacques ...
RépondreSupprimerQu'est ce que l'on est bète d'étre sensible ...
On peut pas se refaire ...
Bisous
Vérone
tu n'as sûrement pas fait d'erreur ... c'est la nature qui choisit
RépondreSupprimerMerci Patachon ,
RépondreSupprimerJ'ai essayée ...
En vain ...
je ne crois que tu aies fait d'erreur. Mais c'est si fragile ces petites bêtes-là . Mais on ne peut pas s'empêcher d'espérer y arriver quand même.
RépondreSupprimerOui Kristin , j'avais l'èspoir ...
RépondreSupprimerMerci
Vérone
Vérone ma douce amie
RépondreSupprimerton cœur est comme le mien toujours trop grand
comme une veste trop ample
que l'on jette sur nos épaules
pour retenir la chaleur, la vie
et que l'on sent le besoin d'enfiler encore et encore...
On ne peut porter sur nos épaules
le fardeau du monde.
Déjà que tu as fait ton gros possible...
Rare, très rare sont ceux qui ont réussi cet exploit
un oisillon c'est fragile
la nature en a décidé ainsi...
C'est quand même mieux que ce con de voisin....Exhibant fièrement l'oisillon mort.